Je tiens à féliciter M. Tayoro pour sa démarche intellectuelle.Ce travail d'archives est une mine d'information pour tous ceux qui souhaitent éclaircir un chapitre essentiel pour la bonne compréhension de l'histoire de la Côte d'Ivoire et de ce conflit en particulier.C'est une nécessité pour les Africains de peser sur le cours de leur Histoire. Chacun avec "ses armes", chacun dans son domaine de compétence. Bravo donc à Calixte,à Théo et à tous ceux qui " refusent l'impuissance."

mais que se passe t il en cote d'ivoire? par curiosité j'ai lu un article du patriote sur un mail reçu d'un "fds". j'en suis sidéré!! publier un mail anonyme qui aurait été reçu "anonymement" alors qu'il est impossible de réagir à un article de ce journal! c'est incroyable cette légèreté que seul un journal ivoirien peut avoir.Résultat: d'un coté un duo gouvernant qui passe son temps à dementir des infos et d'un autre des gens qui prennent plaisir à alimenter la rumeur. L'unique but est de déclencher la révolte des soldats d'un camp ou de l'autre alors que les pyromanes se refugeront dans l'ambassade européenne spécialisée dans l'exfiltration!<br /> Théo j'ai choisi ton canal pour ce coup de gueule, car il est le seul libre sur la place, mille excuses pour le hors sujet mais je devais degueuler

Il faut plusieurs regard sur la crise ivoirienne et notamment les événements de Novembre 2004 pour espérer en saisir tous les tenants et aboutissants. Ce travail est un des regards, on ne peut donc pas exiger de lui qu'il donne toute la vérité sur ces faits. Chacun de nous, au niveu ou il se situe devrait pouvoir apporter un peu de son temoignage à l'édification de la vérité sur la crise en générale. j'encourage donc Tayoro à poursuivre son travail, j'invite les "afrinétaires" (pour emprunter le terme à levy) à éclairer de leur savoir nos "pauvres esprits". Merci à tayoro et à bientôt pour la suite.

Salut,<br /> <br /> je trouve son travail méticuleux. Un travail d'historien. je crois qu'il est à encourager. Seulement, ici au "Village Afrinétaire", les citoyens et autres notables sont devenus exigeants!<br /> <br /> Ralph, dans le document en question, on ne sent pas l'Esprit en mouvement. On ne sent pas l'Histoire entrain de se faire. Il faut donc comprendre Lanzi dans son analyse.<br /> <br /> Ce ci dit, je suis de ceux qui pensent que jusque-là, nous nous sommes bornés à trouver des éléments de réponse à la question "Que s'est-il passé"? cette question est fondamentale aussi bien en sciences politiques (pour des recherches d'intellos) qu'en pratique politique (pour le citoyen tout-venant)! Mais elle n'est pas suffisante!<br /> <br /> En fait, il s'agit d'une triade. Le frère Calixte TAYORO répond, à sa manière, à la première question. mais il y a aussi les questions suivantes: "Comment cela a-t-il été possible? Mais surtout "Comment faire pourque cela ne se repète plus"?<br /> <br /> Avec ces deux questions, on sent l'Esprit en mouvement et la pensée évoluer. D'ici là, il faut encourager Calixte et reconnaitre aussi la conscience critique des citoyens du Village!

Je ne partage pas l'avis de Lanzi sur le travail du blog dont tu nous communiques l'adresse. J'ai moi-même entrepris l'archivage d'un certain nombre d'articles sur la guerre en Côte d'Ivoire. Mais mon travail est très maigre parce que très sélectif par faute de place et de temps. Je me réjouis donc qu'un Ivoirien ait pensé à faire un travail sérieux et assez complet sur les publications faites durant les périodes difficiles de la Côte d'Ivoire. Je regrette par exemple de ne pas avoir enregistré un article incendiaire sur Gbagbo écrit par un journaliste français après l'assassinat d'un journaliste français par un jeune militaire excédé. Jamais, je n'ai lu un article aussi injurieux de la part d'un journaliste sur un chef d'état étranger.